La mémoire des murs
Tatiana de Rosnay
Pocket, 2003
Après son divorce, Pascaline vient d’emménager dans un nouvel appartement.
Elle ressent d’emblée une ambiance particulière, s’y sent oppressée et apprend rapidement par une voisine qu’un meurtre y a été commis. A partir de là, commence sa descente aux enfers. L’idée de revenir sur ce meurtre qui faisait partie d’une série particulièrement macabre devient obsessionnelle. Tout se télescope : les meurtres en série de jeunes filles, son divorce et la mort de son enfant 15 ans auparavant…
Bien, difficile de parler de ce livre auquel je n’ai pas vraiment accroché. Pêle-mêle, en voici les raisons :
L’histoire est rapide, peut-être trop, on rencontre d’emblée une Pascaline au bord du précipice. Je n’ai pas vraiment senti le moment où elle bascule.
Le thème même du livre évoque peu de chose pour moi, j’ai un peu de mal avec les murs qui se manifestent… donc je n’ai pas vraiment cru aux comportements de l’héroïne qui s’enferme petit à petit.
Et pour finir, un passage évoque la rafle du Vel d’hiv’ (évidemment, « Sarah » vient tout de suite à l’esprit) mais je n’ai pas compris ce que venait faire cet épisode de l’histoire dans ce récit.
Bon, voilà, ça arrive que la magie n’opère pas entre un livre et son lecteur !
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L’avis de Cuné, c’est ICI ; celui de Laure, c’est LA; Anne aussi