La mécanique du monde
Bernard Foglino Nicolas Angtrom est le meilleur de sa catégorie. Poids lourd invaincu en matière de maintenance de photocopieurs jusqu’au jour où il va descendre de sa première marche et amorcer une descente aux enfers. "Je n’avais plus de travail, je n’étais plus rien".
Buchet-Chastel, 2008
Critique "express" dans la série "je rattrape mon retard"
C’est le grain de sable qui va venir gripper la belle mécanique, faire ressurgir les fantômes du passé et plonger Nicolas dans une réalité d’apocalypse, suivant le pas de Gabriel, un clochard – homme, ange ou démon, on s’y perd un peu.
On est projeté dans un monde fabuleux, on côtoie le fantastique avec en toile de fond un contexte socio-économique tellement réel que le tout fait froid dans le dos.
Récit ponctué de réflexions drolatiques, je reste tout de même mitigée car j’ai lâché un peu prise dans ce récit extrêmement dense, un chouia fouillis.
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